Certains pourraient penser : la dette de ma ville augmente, et alors, en quoi ça me regarde ?

Une dette peut augmenter à cause des investissements réalisés par une mairie. Des investissements indispensables comme la réfection des routes, la création d’une école ou des investissements non indispensables comme par exemple la création d’une mosquée afin d’obtenir le vote des français de confession musulmane.

Je sais qu’il est tentant pour un ...]]> Par Thierry Cumps, Candidat FN/RBM aux élections départementales 2015 (Le Bourget, Dugny, La Courneuve)

Certains pourraient penser : la dette de ma ville augmente, et alors, en quoi ça me regarde ?

Une dette peut augmenter à cause des investissements réalisés par une mairie. Des investissements indispensables comme la réfection des routes, la création d’une école ou des investissements non indispensables comme par exemple la création d’une mosquée afin d’obtenir le vote des français de confession musulmane.

Je sais qu’il est tentant pour un maire d’offrir à sa ville tout plein de belles réalisations (comme une nouvelle médiathèque) et d’offrir tout plein de cadeaux (comme des livres scolaires, des dictionnaires, le repas de la cantine pour les écoles élémentaires, etc.) afin de s’assurer la réélection lors des prochaines élections municipales. Mais ce n’est jamais le maire qui sort l’argent de sa poche. Toutes ces choses sont financées par nos impôts et les impôts des années à venir car il faudra bien rembourser chaque année les emprunts souscrit par le maire en exercice. De nombreux maires du 93 s’assurent leur réélection en faisant ce genre de cadeaux et en augmentant chaque année un peu plus la dette de leurs villes. Ceci est un cadeau empoisonné. Un jour, les mairies ne seront plus en mesure de trouver des banques qui accepteront de leur prêter de l’argent et gare au retour de bâton : augmentation des impôts locaux, fuites des gens les plus fortunées et des entreprises non subventionnées, fermeture des classes et des écoles, abandon des services publics, etc.

Depuis la loi de 1905 qui signe la séparation de l’église et de l’Etat, les choses religieuses ne devraient pas interférer dans les choses publiques. Ce qui est du ressort du privé doit rester dans le domaine privé, ce qui ressort du religieux doit rester dans le domaine du religieux. Il ne doit pas avoir d’interférence entre le religieux et le public. Une mairie ne devrait donc pas avoir à financer des intérêts privés ou religieux.

Or, dans la plupart des communes du 93, ce n’est pas le cas. On finance allègrement des associations privées ou religieuses.

Vous me direz : et alors, en quoi est-ce un problème ?

Le problème est que si les mairies peuvent se tourner vers les banques privées pour financer leurs investissements. Il arrive à un moment ou le niveau d’endettement d’une ville est tellement élevé que les banques ne lui prêtent plus d’argent ou alors à des taux très élevés.

Les conséquences pour une ville sont les suivantes :

– Arrêt de tous travaux, y compris la réfection des routes,

– Augmentation des impôts locaux pour les particuliers et les entreprises

– Ce qui a pour conséquence : fuite des entreprises et des particuliers qui paient beaucoup d’impôts vers des lieux où ils en paieront moins.

– Ne restent dans la ville que ceux qui ne payent pas d’impôts ou ceux qui en payent peu.

Ce genre de politique menée par la plupart des communes du 93 a conduit à un appauvrissement de notre département : les particuliers et les entreprises qui le pouvaient sont allés chercher ailleurs des terrains plus propices pour leurs affaires. En revanche, ces départs ont été compensés par une immigration massive d’une population défavorisée avides d’aides en tout genre comme les allocations familiales et la CMU. Malheureusement, il s’agit d’un appauvrissement des finances des villes et de notre département puisque la population qui rentre est moins riche que la population qui sort. Cette politique appelé « diversité » par le PS qui tend à favoriser les étrangers au détriment de la population locale déjà implantée a fait de la Seine Saint-Denis le département le moins envieux de la France. Nos professeurs et nos maîtres d’école refusent souvent de venir enseigner chez nous malgré les primes qu’on leur octroi. Nos enfants en pâtissent  puisque de nombreux cours n’ont pas lieux. Comme le niveau de l’enseignement du 93 s’appauvri, les jeunes adultes du 93 ont plus de mal que les autres à trouver du travail, même en dehors du 93.

Il s’agit d’une spirale infernale qui fait de notre département, le département qu’il faut fuir à tout prix. Il est de temps ce casser cette dynamique. Une nouvelle politique doit être menée au sein de nos villes et de notre département. Une politique qui fait que les entreprises et les particuliers n’auront pas à payer plus d’impôts chez nous que dans les autres départements. Une politique qui fait que notre département de Seine Saint-Denis ne sera plus considéré comme le département le plus pauvre de France. Une politique qui fait que nous n’aiderons plus ceux qui ne veulent pas s’insérer dans notre société. Le respect, ça se mérite. La citoyenneté française, ça se mérite. Les revenus, ça se méritent aussi. Vous n’avez pas plus de droit chez nous parce que vous venez d’un autre pays ou que vous avez une autre couleur de peau que la nôtre.

« Liberté, Égalité, Fraternité » est la devise nationale de la France depuis 1848. Cette expression reprend les idées de liberté et d’égalité qui sont contenues dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen votée en août 1789. Il est temps de remettre cette devise à l’ordre du jour. Fini la préférence à la couleur ou à l’origine étrangère. Fini le racisme anti-blanc. Terminé la « diversité » chère à nos socialistes. On ne veut plus de la discrimination positive.

Le département de Seine Saint-Denis doit redevenir un département « normal » et reprendre la place qu’il mérite au sein de la France.

D’autres textes sur le blog de Thierry Cumps : http://elections-93.blogspot.fr/